Vous savez comment on disait "jamais" au camp ? "Morgen früh" : "demain matin"
Troisième jour d'instabilité. Des mots précaires jetés avec intérêt, pour certifier que la distance n'est pas relayé les libido (quoiqu'un peu faibles tout de même) et le dévouement. Ou bien ces mots que l'on calcule pour se renseigner obtenir une réponse des plus rassurante à son égard. Soit la possibilité que ces parlotes ne soient que de vulgaires sarcasmes afin d'assurer son estime, et jouer encore. Je ferai une croix sur la dernière supposition.
Primo Levi, une lecture des plus nébuleuse à mon goût. Des textes excessivement explicites que l'on ne prend même pas le temps de s'attarder dessus tellement les phrases, les tortures, et les jours se ressemblent à Auschwitz. Pour une solution radical, marquante, opter pour Nuit et Brouillard serait le meilleur aboutissement pour comprendre. Juste comprendre. Cette inhumanité dans laquelle je refuse de crever.
A ta santé! Les droits de l'homme.
Pour en finir sur cette article négligeable, noircie par la fumée et pervertie de grès ou de force, elle n'est pas sure, même après résolutions juré essur le néant, crachées à l'arrache, elle ne se relèvera pas.
